artiste plasticien Abdel Aziz LOURHRAZ expose à la biennale d’art abstrait en
Normandie
L’espace pictural, selon le peintre marocain, est la sortie du sujet vers l’Absolu. Il est, par conséquent, une union à triple face : L’Histoire, l’identité, et l’universel. Il est, en fin de compte , l’inversion de l’ équation de toute vision orientaliste , la fragilisation d’un regard ethnographique , la digestion de la fusion existentielle entre l’ Orient et l’ Occident , et la duplication de la pratique artistique qui caractérise l’Art arabe contemporain .
Le plasticien Abdelaziz LOURHRAZ a appris, à travers" La blessure du non propre" de l’écrivain A. Khatibi, comment l’artiste doit voir le corps dans d’autres dimensions. L’adoption d’une telle vision, séparant entre le corps réel et le soi-disant «le corps conceptuel», lui a permis , dans certaines mesures , d’approfondir cette conception , et de chercher les moyens d’expression les plus adéquats pour élargir d’autres horizons et ouvrir d’autres perspectives, afin de donner à l’espace pictural ses extensions possibles.
Said AL KAWTARI
كتبهاعبد الجبار الغراز ، في 12 سبتمبر 2010 الساعة: 02:59 ص
La biennale d’art abstrait du XXI siècle en
Normandie célèbre cette année les 100 ans de l’art abstrait. Des artistes de
différentes nationalités participeront à cet événement : Canada, France,
Belgique, Maroc…
L’artiste
plasticien marocain Abdel Aziz LOURHRAZ exposera à la biennale à partir du 14
septembre. Son œuvre intitulée « Arabesque calligraphie » a été sélectionnée par
le jury afin de participer au concours de la biennale.
L’artiste
plasticien marocain a participé à plusieurs expositions au Maroc et à
l’étranger. Il a eu le premier prix du concours art et abstraction organisé à
Marseille, et le premier prix du concours artistique de la société noble
traiteur en collaboration avec le Journal L’Opinion.
L’Art
plastique auquel se livre le plasticien Abdelaziz LOURHRAZ est caractérisé par
un sentiment de rejet de la systémique. Ce sentiment ne lui laisse pas le choix
de se fixer dans une terre plastique unique. Il est, souvent, poussé par un
désir proliféré, voulant mettre en évidence la relation dialectique du
controversé et de la transfiguration qui imprime " l’oubli" dans notre
patrimoine arabo-musulman, que le regard ethnographique occidental a inculqué à
notre conscience collective.
Nous savons que l’Arabesque a des caractéristiques esthétiques innovées par
nos ancêtres, dans ses dimensions spirituelles. Les peintures de Lourhraz sont
l’ajout de cet héritage enrichi par notre culture. Il s’éloigne de toute
tradition qui folklorise notre scène artistique en le rendant universel.L’espace pictural, selon le peintre marocain, est la sortie du sujet vers l’Absolu. Il est, par conséquent, une union à triple face : L’Histoire, l’identité, et l’universel. Il est, en fin de compte , l’inversion de l’ équation de toute vision orientaliste , la fragilisation d’un regard ethnographique , la digestion de la fusion existentielle entre l’ Orient et l’ Occident , et la duplication de la pratique artistique qui caractérise l’Art arabe contemporain .
Le plasticien Abdelaziz LOURHRAZ a appris, à travers" La blessure du non propre" de l’écrivain A. Khatibi, comment l’artiste doit voir le corps dans d’autres dimensions. L’adoption d’une telle vision, séparant entre le corps réel et le soi-disant «le corps conceptuel», lui a permis , dans certaines mesures , d’approfondir cette conception , et de chercher les moyens d’expression les plus adéquats pour élargir d’autres horizons et ouvrir d’autres perspectives, afin de donner à l’espace pictural ses extensions possibles.
Said AL KAWTARI
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